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Une information plus systématique de la part des gynécologues

Devant le nombre de personnes qui présentent une infection attrapée à la suite d’un rapport sexuel à risque, de nombreux spécialistes se sont rendus compte que l’information ne passait pas toujours sur le sujet et qu’il fallait lever les tabous pour en parler ouvertement.

Poser les bonnes questions

La bonne démarche est alors de questionner la personne qui consulte sur ces connaissances en la matière afin de juger si elle comprend l’expression de conduite à risque. En effet, bien souvent, les personnes ont des informations erronées, incomplètes, sur lesquelles elles se basent.

On constate par exemple que la plupart d’entre elles pensent qu’un contact oral ou anal ne nécessite pas de protection alors que des germes, microbes et de nombreux virus peuvent être transmis de ces façons. Il est donc important de faire évoluer les mentalités sur ce sujet qui concerne de nombreuses patientes.

Rectifier les connaissances

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Le fait de pratiquer un entretien à chaque consultation d’une autre patiente permet alors de transmettre la bonne réponse à la personne concernée afin qu’elle puisse par la suite être plus attentive à son comportement et adopte les bons réflexes.. De plus, la femme qui consulte pourra alors informer son partenaire et l’information va ainsi circuler au fur et à mesure.

En effet, certaines pratiques comme l’utilisation de produits gras comme lubrifiants est récurrente alors qu’elle est vivement déconseillée car ces produits ne sont pas destinés à cet usage et peuvent entraîner des maladies.

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